Accueil > Brigittologie > #brigittegate : documents d’analyse et de comparaison
Enquête citoyenne & participative
#brigittegate : documents d’analyse et de comparaison
Contre l’omerta de la classe dirigeante
samedi 29 janvier 2022, par
Mon premier article sur le #brigittegate intitulé « Brigitte Macron : « Et si c’était un homme ? » » a connu un certain succès, ayant été pendant une cinquantaine de jours le seul sur Internet à relayer l’enquête de Faits & Documents (plus de 230 000 vues à ce jour sur Profession gendarme pour les deux versions cumulées). L’affaire a fini par exploser avec la première entrevue de Natacha Rey diffusée le 10 décembre 2021. Les chiens de garde du journalisme d’État ont publié quelques réfutations relevant de ce que j’appelle « fact-shaking », que j’ai traitées dans un 2e article intitulé « Le journalisme à genoux devant la « première dame homme de France » ». La créature de l’Élysée a fini par s’exprimer pitoyablement sur l’affaire auprès de journalistes dignes de la Pravda. Les journalistes continuent soit à se taire, soit à publier de minables dénégations. Le pire est le silence accablant des tenants de la presse dite libre, ainsi que des stars de l’anticovidisme. La vie même de Natacha Rey étant menacée, Richard Boutry lui aussi étant persécuté par des procédés dignes d’une république macronière rien que pour avoir envisagé de l’interviewer, respecter l’omerta sur l’affaire relève à mon humble avis de la non-assistance à personne en danger. L’attitude des « journalistes » face aux lanceurs d’alerte est de pire en pire, mais cela ne nous apprend rien ; on l’avait déjà constaté dans leur absence de réaction lors de l’affaire Julian Assange. On ne demande à personne de titrer « Brigitte est un homme », juste d’évoquer l’enquête, qui constitue une information en soi, avec ses hypothèses et ses certitudes. Mais les plumitifs à la solde de l’ Élysée préfèrent souscrire au plan com de la « Première dame », comme par exemple dans ce communiqué de Closer. Le mot « accouchement » est dans le titre, alors que dans l’article, il est juste question de « naissance de [m]on premier enfant », nuance ! Et aucun questionnement « conspirationniste » sur l’absence de toute photo de famille de ce locus amoenus de la mémoire brichelienne !
Bref, pendant que les journalistes lèchent le cul du Chef de l’Étron, des citoyens se sont mis à faire le travail d’enquête… Cela a commencé par les deux lecteurs de mon article du 22 octobre 2021 repris le 29 octobre sur Profession gendarme, qui ont contacté Natacha Rey (d’après ses propos répétés) et lui ont fourni des documents importants. Évidemment dans un tel contexte on peut tout imaginer, y compris que Natacha Rey, Xavier Poussard, votre serviteur ou les deux lecteurs en question soient des agents de l’étranger, je veux dire des agents à la solde du mondialisme comme le couple infernal de l’Élysée et les trous du cul du gouvernement comme l’explique le Pr Gaëtan Lanusse, proctologue. Depuis les 2 premières entrevues de Natacha Rey (et celles moins tonitruantes de Xavier Poussard), on a vu fleurir une cacophonie de publications, sur des comptes personnels de réseaux sociaux. Je ne suis abonné à aucun réseau à part Telegram, mais j’ai pu picorer quelques infos çà et là, dont je tiens la chronique quotidienne dans un 3e article « Chronique du #brigittegate ». Alain Beyrand s’est mis au boulot, en généalogiste amateur saisi dans son intime conviction, et a fourni une synthèse qui fera date dans cette enquête citoyenne en marge du système médiatico-politique.
Mon intérêt pour cette enquête provient de hasards convergents. D’une part je suis un anticovidiste de la première heure. J’ai entamé début mars 2020 la série de désormais 11 articles de chroniques du national-covidisme ; d’autre part je suis abonné à Faits & Documents, donc je n’ai pas perdu de temps à me demander si c’était un journal sérieux ; troisièmement je suis altersexuel (mot de mon invention), donc cette enquête me touchait particulièrement, et j’étais relativement expert dans ce domaine, au moins apte à distinguer ce qui relève de la transphobie et de l’homophobie, et ce qui relève de l’intérêt public.
Alain Beyrand et moi-même sommes actuellement submergés d’envois d’informations et de documents intéressants, dont évidemment nous ne pouvons certifier la provenance, agents étrangers (je veux dire comme le couple McRond et son employeur McKinsey) ou citoyens sincères, agents de l’étrange ! Je fournis ici les documents transmis hier par une mystérieuse correspondante au nom d’Hortense Fuschia, et qu’Alain Beyrand a déjà publiés dans sa synthèse. J’ai pensé que les mettre à part, en les proposant à Profession gendarme, permettrait de recueillir des avis et des témoignages pour confirmer ou infirmer nos intuitions. Personnellement je n’ai pas trop d’avis sur ces documents, ou si j’en ai je souhaite ne pas influencer le lecteur en les exprimant. Certains sont convaincants jusqu’à preuve du contraire, d’autres sans doute le sont moins… Je ne publie pas non plus les réflexions que je reçois sur la morphologie de cette créature, malgré leur pertinence, car je crois que Natacha Rey est assez experte sur ce plan. Une correspondante, par exemple, nous a fait remarquer le tassement des vertèbres de Brigitte septuagénaire ; info reprise par Alain ; une amie médecin m’a fait remarquer que le rapport hanches / épaules de la donzelle n’est pas du tout typique d’une femme ayant subi trois grossesses, ce qui en principe engendre une modification de la silhouette.
Je préfère donner sur ces documents un avis général d’ancien militant altersexuel (que j’ai cessé d’être depuis que la cause a été cooptée par des manipulateurs comme expliqué dans cet article). Les personnes transgenres, surtout celles de la période des années 70-90 où prévalait la véritable transphobie, sont pour moi des héros. Pardonnez-moi de me citer : « le ou la transgenre [est] un homo ou une lesbienne qui a le courage de ses opinions » (Le Contrat universel : au-delà du « mariage gay », 2012, p. 157). Je n’écrirais peut-être plus cette phrase telle quelle aujourd’hui, parce que la mode s’en est emparée, et je trouve que certains transgenres FtM (hommes nés femmes) notamment, ont accompli cette transition moins par conviction personnelle que par séduction pour un modèle de domination qui les domine tout en le dénonçant.
Certains propos des enquêteurs bénévoles ou non de cette affaire frisent parfois sinon la transphobie, du moins la méconnaissance. Par exemple, Xavier Poussard dans les 6 numéros de l’enquête, ne mentionne comme exemple de transsexualisme que des stars transsexuelles FtM de la grande époque, qui ont peu à voir avec la réalité du phénomène transgenre actuel. Voyez mon entrevue de Stéphanie Nicot que j’avais faite en 2007. Donc les personnes qui figurent sous l’extraordinaire photo de la première Gay pride de l’histoire française le 25 juin 1977, sont pour moi des objets d’admiration avant d’être des objets d’enquête. La plupart d’entre eux sont sans doute morts du sida, et ils méritent le respect avant tout. J’ai l’impression que tous les gays des années 1980 qui avaient une valeur morale sont morts, les Hocquenguem, Foucault, Navarre, Guibert et Cie, parce qu’ils prenaient des risques dans la vie sexuelle comme dans la vie intellectuelle. Quand je songe à tous ces gens dont j’ai connu certains avant qu’ils ne soient emportés par le sida, des vers d’Oceano Nox me reviennent en mémoire :
« Et quand la tombe enfin a fermé leur paupière,
Rien ne sait plus vos noms, pas même une humble pierre
Dans l’étroit cimetière où l’écho nous répond,
Pas même un saule vert qui s’effeuille à l’automne,
Pas même la chanson naïve et monotone
Que chante un mendiant à l’angle d’un vieux pont ! »
C’est dans cet état d’esprit que je propose ici ces documents. Moi-même, lors de mes premières gay pride, je faisais semblant de passer par hasard sur le trottoir, et c’était dix années plus tard ! Il faut dire que le bulldozer du sida était passé par là entre-temps. Donc si « Brigitte » avait été simplement une transgenre rescapée de l’époque héroïque qui aurait séduit un jeune homme, j’aurais accueilli cette donnée avec joie. Cette affaire constitue la partie émergée de l’iceberg, le produit d’appel sulfureux qui suscite l’intérêt des gens alors que si vous leur parlez d’Alexis Kohler ou du dépeçage d’Alstom et du « pacte de corruption » autour de Macresse, Pécron & autres malfrats, ils bâillent.
Dès que j’ai lu le n°501 de Faits & Documents, j’ai été persuadé que le #brigittegate empêcherait le Chef de l’Étron de se porter candidat à sa propre fellation. Martine Wonner le confirme mystérieusement ce jour, en précisant qu’elle ne peut pas dire pourquoi. Est-ce si difficile à dire ? Peut-être faut-il l’écrire façon Paul Éluard ? « Sur les sentiers éveillés / Sur les routes déployées / Sur les places qui débordent / J’écris ton nom ».
Ou bien confier cette chose indicible à une maman de la Guadeloupe.
Dans l’affaire, ce qui est important, ce n’est pas l’anecdote transsexuelle, c’est le détournement de mineur officiellement affiché par la mafieuse Mimi Marchand, conseillère officielle de cette couple de drôle d’oiseaux ; l’implication récurrente de cette dernière dans des scandales de pédocriminalité, et tout le reste du dossier révélé par Faits & Documents, et tout ce que suggère Natacha Rey, qui reste bien entendu à prouver, car comme je l’ai expliqué dans mon article principal, la présence de cette personne à la cigarette dans le cercle du pasteur Doucé ne prouve rien en soi. Le journaliste Pierre Jovanovic annonce que « Brigitte et Emmanuel Macron figurent dans l’annuaire de l’agenda de Ghislaine Maxwell ». Comme disait Coluche : « Circulez, y a rien à voir ! »
Les pistes que semble indiquer l’analyse de ces documents avec des logiciels dont j’ignore tout sont ténues, parce que les ordinateurs peuvent aussi bien nous servir que nous tromper. Un logiciel de morphing peut vous transformer tout en n’importe quoi, voyons, au hasard, un trou du cul en un chef de l’Étron (avis aux amateurs !), et cela ne prouve rien ! Mais ces pistes bien entendu doivent aussi être suivies car un bon détective ne rejette rien avant d’être sûr, à l’instar de « Brigitte » occupée à ses « captures d’écran » au fond de son cabinet lorsqu’iel s’ennuie de récupérer des pièces jaunes pour refaire la peinture des hôpitaux dont le collégien qu’iel dépucela ferme les lits par milliers chaque année.
Le document n°13 par exemple, serait une bombe, ou un pétard mouillé, selon que l’on passera les photos au logiciel de comparaison de visage de Megvii déjà utilisé par Natacha Rey & Xavier Poussard dans leur enquête. J’ai reçu une hypothèse fuligineuse sur le sujet, que je me garde de publier pour l’instant. Désolé les filles, j’ai 55 ans, mais je tiens encore un peu à la vie, et mon type de mecs, ce n’est pas vraiment les barbouzes du chef de l’Étron ! Jetez un œil si vous voulez à l’hypothèse formulée par Alain. Ajoutons une vidéo qui date de janvier 1986 : « Gay bizness », qui montre certaines personnes que j’ai connues quelques années après ! Y reconnaissez-vous des personnages de notre roman-photo ? À l’âge de 22 ans, en 1988, j’avais publié des nouvelles et des poèmes dans Gai Pied. En 1989 j’avais publié un reportage sur un voyage en Chine dans Gay Infos qui était le journal de David Girard, dont il est question dans ce documentaire. Dois-je préciser à l’intention des homophobes que je n’ai jamais été victime d’atteinte à mon intégrité dans ce milieu que j’ai fréquenté de loin ? Pour Gay Infos tout s’était passé par la poste et par téléphone ; je me souviens m’être ridiculisé en disant « Bonjour madame » au téléphone, à une personne qui m’avait répondu « Monsieur ». Je croyais qu’elle s’adressait à moi, mais non, il voulait juste rectifier mon erreur. Si ça se trouve, c’était iel ! Quant à Gai Pied, j’y ai publié pas mal d’articles, et j’ai été reçu là-bas à plusieurs reprises, mais jamais je n’y ai été l’objet d’attitudes équivoques. En revanche, dans le milieu gai du sida il y avait des arrivistes à l’attitude lamentable, mais je crois que d’un autre côté il y avait tellement de jeunes mecs prêts à donner ou à vendre leur cul que les rares crapules n’avaient pas à s’ennuyer, et puis je n’étais pas un prix de beauté. Excusez-moi de raconter ma vie, mais je veux poser le cadre pour ceux qui par ignorance croient que le milieu gay n’est qu’un lieu de débauche. Il peut l’être, mais on peut aussi traverser Naples sans se faire agresser !
Quoi qu’il en soit, la publication de ces documents rouvrira peut-être des mémoires ou des albums de photos défraîchies, pour nous permettre d’identifier ces personnages, quitte à nous détromper si nous avons suivi de fausses pistes. Il semble évident que des personnes qui avaient les couilles de poser à visage découvert dans le cadre d’une manif gay, étaient fort peu nombreuses à l’époque, et qu’elles ont dû être mitraillées et s’exhiber un peu partout. On devrait donc au moins pouvoir dénicher d’autres photos ainsi que des souvenirs de témoins qui permettront, dans la suite de cette enquête citoyenne, de confirmer ou d’infirmer nos intuitions, et c’est sur cet aspect-là plutôt que sur les manipulations numériques, tout habiles soient-elles, que je fonde mes espoirs de découvrir du nouveau.
À vous de jouer !
Les documents sont fournis ci-dessous sans commentaires, seulement numérotés. Cela commence par un montage vidéo, puis une douzaine de montages photographiques ou captures d’écran (comme c’est les soldes, il y en a 16 à la douzaine !). Les deux premiers montages sont à part ; ils n’ont pas la même origine. Le premier part de la photo de la gay pride 1977 qui a mis le feu aux poudres, à tort ou à raison. (Attention, c’est à tort, il vaut mieux vous en avertir dès maintenant, suite à une découverte publiée mi février 2022 ; voyez à la fin de l’article). Les documents ont été aussi mis en ligne dans l’annexe de la synthèse de Pressibus.
Je profite de l’occasion pour rappeler l’existence de cette pétition Pour une commission d’enquête parlementaire sur Mme Brigitte Macron.
Un petit cadeau pour ceux qui sont arrivés jusqu’au bout de cet article : une caméra cachée lors d’un conseil de défense sous la direction du Chef de l’Étron. Vidéo supprimée de Youtube. Si vous la retrouvez, merci de me contacter.
De Zazie à Brizitte
Au terme de cet article je voudrais dire que l’enthousiasme que j’éprouve, et qui me fait vivre paradoxalement dans la joie cet épisode de tyrannie, me rappelle mon enquête sur Zazie dans le métro et ses personnages transsexuels, il y a dix ans. De la même manière, j’avais travaillé de concert avec des gens à l’autre bout de la France, que je n’avais jamais vus dans la vie réelle, mais nous avions accompli une enquête échevelée pendant des mois (et ce partenariat culturel avait duré plusieurs années). Je voudrais donc remercier Alain, ainsi que mes correspondants anonymes, notamment Hortense Fuschia, l’auteure des photos et de la vidéo, ainsi que Ronald, mon hôte de Profession gendarme. Nous avons d’ailleurs eu le grand honneur de recevoir une réponse de Xavier Poussard en personne, qui n’a pas pris position sur nos tâtonnements, mais a juste tenu, pensons-nous, à témoigner son intérêt pour nos modestes efforts… Dois-je préciser qu’à ce stade de notre enquête nous ne sommes pas d’accord entre nous sur les pistes qui nous sont proposées, dont certaines seront sans doute écartées, d’autres validées ; c’est précisément la raison pour laquelle nous nous gardons bien d’affirmer quoi que ce soit ? De vos étincelles naîtra la lumière sur cette affaire.
Ajout du 16 février 2022 : Dans le n° 504 de Faits & Documents qui vient de paraître, Xavier Poussard écarte la piste de la photo de la gay pride de 1977, qui d’ailleurs date d’une marche de mars et non de juin 1977 comme le prétend Têtu. En effet, il a identifié le personnage au chapeau, qui n’a rien à voir avec notre affaire, et donc cette hypothèse est définitivement rejetée. Je me félicite d’avoir été prudent. En revanche il a trouvé une autre piste intéressante, et plus crédible. Armons-nous de patience, et en attendant, livrons-nous aux mazarinades brigittologiques, à suivre sur le fil Telegram Perruques jaunes.
– Retour à l’article « Brigitte Macron : « Et si c’était un homme ? » », ou à la « Chronique du #brigittegate », mise à jour quotidiennement (jusqu’à ce que Jean-Michel sorte de son igloo !)
– Article repris sur Profession gendarme.
Voir en ligne : Synthèse de Pressibus
© altersexualite.com 2022