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Les chiens de garde de la presse gouvernementale font dans le caniveau.

Le journalisme à genoux devant la « première dame homme de France ».

Du détournement de mineurs considéré comme un des beaux arts.

samedi 18 décembre 2021, par Lionel Labosse

Le Landerneau politico-médiatique feint d’avoir découvert brusquement le 10 décembre 2021 l’affaire Jean-Brigitte-Michel. L’Élysée semble un peu déboussolé, qui avec nos impôts écrit depuis deux ans la saga du totalitarisme covidiste non pas avec les institutions démocratiques, mais avec l’agence de com McKinsey (maison-mère de l’agence McRond), laquelle a embauché – sans aucun conflit d’intérêt – le fils Fabius et le fis Van der Leyen.
L’étincelle qui a mis le feu aux poudres est une vidéo de 4h35 diffusée puis publiée sur YouTube en direct vendredi 10 décembre. Elle a été curieusement laissée disponible jusqu’à la parution des premiers articles de « fact checking » de la presse gouvernementale, puis brutalement supprimée par la Kommandantur alors qu’elle avait dépassé les 450 000 vues, ce qui pour cette durée, était un beau score (mais on peut la visionner sur d’autres plates-formes, ou voir une autre entrevue diffusée le mardi 14). Cet article a pour but entre autres de convaincre les nombreuses personnes qui ânonnent le mantra « Ça ne m’intéresse pas, c’est leur vie privée », qu’elles se font manipuler par la presse gouvernementale, et que non, ce n’est pas une affaire de vie privée, et que oui, ça nous intéresse au premier chef, et que c’est ce scandale qui nous débarrassera des nuisibles qui nous tyrannisent avec leur stratégie du mensonge systématique et du « nudge ».

Dans cette vidéo du 10 décembre, Natacha Rey, journaliste indépendante à l’origine de l’enquête de la lettre d’information Faits & Documents, était interrogée par Amandine, medium de son état. Elle y expliquait le cheminement de son enquête, qui l’occupe depuis 3 ans. Tous les médias contactés l’avaient refusée, avant que Richard Boutry, qui avait failli accepter, renonce et la mette en contact avec Faits & Documents. Xavier Poussard, journaliste indépendant qui dirige cette lettre, a accepté, a assuré la part politique du dossier qui occupe la majeure partie de l’enquête, basée conformément au titre du support, uniquement sur des faits et des documents. Après la publication du dernier des 5 numéros, que j’avais reçu dans ma boîte à lettres le 20 octobre, il s’est écoulé 50 jours (entre le 20 octobre et le 10 décembre, date de la vidéo avec Amandine) pour qu’AUCUN média ne relaie cette enquête. Pendant ces 50 jours, l’article que j’avais publié dans la foulée sur mon site altersexualite.com, et qui avait été repris par Profession gendarme le 30 octobre, a été le seul et unique article sur Internet à relayer cette bombe comme il en a existé peu dans l’histoire du journalisme français. Cet article a connu un certain succès : il a été republié dans une version revue et corrigée le 8 décembre, alors qu’il venait de passer les 40 000 vues. Je m’impatientais alors de l’omerta sur l’affaire, sans savoir qu’elle allait exploser deux jours plus tard. J’ai d’ailleurs été très fier que dans ses deux entrevues, Natacha Rey évoque cet article qui lui a valu d’être contactée par de nombreuses personnes, dont deux membres des forces de l’ordre qui lui ont permis de poursuivre et confirmer son enquête. Dans la foulée, d’autres blogueurs ou journalistes amateurs ont interviewé Natacha Rey ou Xavier Poussard, ce qui permet aux rageux de dénoncer leur amateurisme sans comprendre qu’AUCUN journaliste professionnel n’a osé réaliser cette interview. On peut s’interroger sur ce silence, qui concerne autant la presse gouvernementale que la presse libre. Serait-ce uniquement de la jalousie de journalistes qui ont une carte de presse et confondent investigation avec dîners en ville, comme le dit Xavier Poussard dans une entrevue ?
Avant de parler de journalistes à genoux, on peut parler de journalistes assis devant leur ordinateur, qui ne font que compulser des données disponibles en ligne, comme nous le faisons nous les blogueurs, sauf que ce n’est pas notre métier, nous le faisons en amateurs. Quand on sait avec quelle vitesse les données sensibles sont censurées sur Internet, soit par la Kommandantur, soit sur demande des intéressés, monnayée ou non, comme l’a souvent révélé cette enquête, on peut s’interroger sur la portée de ce type d’investigation assise.
Natacha est une donneuse d’alerte, et quand je songe à ce qui arrive actuellement à Julian Assange, incarcéré depuis 2019 non pas en Iran mais en Europe, piquouzé de force, victime d’un accident cardio-vasculaire et menacé d’extradition aux États-Unis, j’ai un peu peur pour elle. Comme dit l’autre, pour l’instant tout va bien, Julian Assange et Natacha Rey sont toujours vivants et leurs enquêtes sont relayées massivement par la presse libre… Les médias collaborateurs du gouvernement McKinsey ne diffusent pas l’image de Julian Assange détenu en Angleterre comme étaient diffusées les images de Jean-Paul Kauffmann, Michel Seurat & autres journalistes détenus en otage au Liban entre 1985 & 1988, du temps de la liberté d’expression & de la presse d’investigation où des journalistes avec couilles allaient sur le terrain plutôt que de vaporiser le parfum des éléments de langage des agences de com & des gouvernements qui les perfusent de communiqués de presse & de subventions.
En 2021 les journalistes assis de la presse gouvernementale non seulement ne font plus d’investigation, mais passent leur temps à « fact checker » les rares journalistes libres ou les amateurs qui font le travail qu’eux ne font pas. Cerise sur le gâteau des subventions, ils dénoncent leurs confrères non subventionnés, voire demandent leur interdiction d’exercer, comme c’est arrivé en 2021 à France-Soir. Ce n’est plus la presse assise, c’est la presse à genoux aux pieds du pouvoir. À genoux aux pieds de ce macron et de sa prétendue maîtresse-d’école-dont-il-est-tombé-amoureux, comme elle était à genoux au pied de la statue de Mitterrand, qui gaspillait notre argent pour élever sa (ou ses ?) fille cachée. Cette presse n’aurait-elle pas qualifié de « fake news », « complotiste », « d’extrême drouâteuh », un journaliste traître à leur caste qui nous aurait révélé les dessous de son couple modèle avec « Danièle » ? Si l’on retrouvait Natacha Rey avec deux balles dans la tête, tous ces journalistes qui ont maintenu l’omerta sur cette enquête, pourraient-ils encore se regarder dans une glace ?

Avec Macron tout est FAUX !
© anonyme

Les premiers jours après la diffusion de cette vidéo, la rumeur se répandait comme une traînée de poudre parmi la population, avec le hashtag #jeanmicheltrogneux, tandis que la presse & la caste politico-médiatique, qui selon Natacha Rey était on ne peut plus au courant de l’affaire depuis des années, restait coite. Francis Lalanne reste à ma connaissance la seule personnalité connue à avoir, dès le premier jour, utilisé ce hashtag. Lui qui avait compris bien avant nous tous (les anticovidistes) que la meilleure des défenses c’était l’attaque, il a aussi compris avant tout le monde que maintenant que nous tenons le tyran par les couilles (qui ne sont pas forcément les siennes) il ne faut pas le lâcher jusqu’à la destitution. Il a fallu attendre le 13 décembre pour que LeTribunal du Net puis Closermag, aussitôt suivis de plusieurs autres titres de la presse de caniveau, dénoncent leur petit camarade Faits & Documents, en agitant immédiatement les trois gousses d’ail favorites des commissaires politiques de la presse gouvernementale : « fake news », « complotiste », « extrême drouâteuh » (on n’a pas encore eu droit à « antisémistime » qu’on nous a servi à la truelle lors de l’épisode de l’étoile jaune, mais ça va venir). Cela fait quarante ans que les fascistes de l’extrême centre détruisent notre démocratie en abusant les gogos avec ces grelots grossiers. J’y ai moi-même cru pendant plus de vingt ans, avant de me rendre compte progressivement que quelque chose clochait. Il faut croire pourtant que cette stratégie fonctionne, puisque jusqu’à preuve du contraire à l’heure où nous mettons sous presse, même les journalistes et blogueurs anticovidistes font dans leur froc à l’idée de relayer une idée ou une hypothèse que la presse fasciste de l’extrême centre a frappée de ce sceau d’infamie. Nous pouvons désormais la qualifier de nationale-covidiste.
Le 15 décembre, coup sur coup, Front populaire et Libération y allaient de leur fact checking. On retrouvait sans surprise les trois mêmes grelots, assortis d’un semblant d’investigation façon journaliste assis ; un coup de fil à Faits & Documents côté Libé et une lecture superficielle de l’enquête côté Front populaire. Donc Libé a découvert que Natacha Rey a un ressentiment contre « Brigitte », et des engagements personnels. Tiens, ce serait donc incompatible avec le métier de journaliste ? Aucun journaliste n’aurait ni affects ni idéaux ? À moins que les seuls engagements autorisés de la bienpensosphère soient la figure du trotskiste reconverti dans le mondialisme ? En ce qui concerne Front populaire, l’auteur s’est livré à une lecture de type cherry picking des 5 numéros de l’enquête. Sur ces 60 pages en petits caractères dépourvues de toute publicité, il a prélevé une histoire de skate-park, l’argument sans doute le plus fort de la journaliste, et puis quelques phrases qu’il commente façon café du commerce : « ah bon, elle ressemble à son frère, et alors, n’est-ce pas normal qu’on ait un air de famille quand on est frère et sœur ? » Aucune allusion à aucun des arguments énumérés par Natacha Rey au fil des 4h35 de son entrevue vidéo. Je ne vais pas me livrer à une critique de ces critiques qui relèvent finalement, avec un peu plus d’allure, du même type de presse que les supports précédents. Libération et Front populaire font dans le caniveau, en bons chiens de garde de la macronie. Remarquons au passage que d’autres médias connus pour de consciencieux lécheurs de bottes, n’ont pas encore daigné traiter la question qui agite tous les cafés et les réseaux sociaux de France. À mon humble avis, ils ont laissé les plus fidèles chiens de garde se ridiculiser en hurlant à la fake news, ce qui fera bien rire d’ici quelques semaines. « Passez devant, il y a des mines ! » Tous les médias de salons de coiffure, les journaux télé, ont repris l’info (sur le mode « fake news horriblement transphobe »), mais les communicants du « cabinet » de « Brigitte » doivent s’en mordre ses couilles, parce que tous les lecteurs de ce genre de canards vont se dire « Tiens, mais pourquoi donc on ne m’en parle pas à TF1 ou BFM de cette si horrible rumeur-là ? » Et ils vont se mettre à chercher… Alors il va falloir soudoyer cher un journaliste connu, vraiment connu, pour qu’il proclame face caméra dans une vidéo dont on rira bien dans six mois : « Aussi sûr que je suis un journaliste honnête, Brigitte est vraiment née femme ».

Macron agacé par les journalistes
Journaliste mainstream en pleine investigation.
© Bésot

Les plumitifs de ces deux torchons n’ont bien entendu abordé que l’aspect cosmétique de l’enquête, comme s’il ne s’agissait que de révéler ce qui relève de la vie privée d’une personne qui a bien le droit d’être trans, personne ne le nie, et personne n’a jamais « accusé » cette personne d’être transgenre. Tous les autres aspects de l’affaire les laissent aveugles & muets :
 Que leur collègue journaliste ait vu la police débarquer chez elle alors qu’elle était parvenue au bout de son enquête (elle avait retrouvé l’épouse et mère des enfants de Jean-Brigitte-Michel). Alors qu’elle n’avait rien commis de délictueux, ils ont fait pression sur elle pour qu’elle renonce au soutien d’un avocat, et se laisse saisir son téléphone. Il faut voir si ça arrivait à un plumitif de Libé, comme il couinerait ; mais là, pas un mot, pas plus que de soutien à Julian Assange. Les journalistes à couilles gênent autant les journalistes sans couilles que les médecins traitementistes gênent les médecins vaxinistes : ça serait tellement plus facile s’ils n’existaient pas, et si l’on pouvait tranquillement se rendre aux soirées de l’Élysée, ne poser que des questions convenues et assister à une performance d’un niveau artistique absolument élyséen à l’issue d’une conférence de presse de bon ton.
 Que dans la légende officielle, fabriquée de toutes pièces par le service de propagande (c’est-à-dire l’usine à fake news) de l’Élysée et imposée par une presse complice, aveugle ou collaboratrice, on ait osé présenter comme anodin le storytelling d’une professeur de français qui aurait séduit un élève de son établissement âgé de 14 ans, en mettant l’accent sur la différence d’âge pour dissimuler le détournement de mineur. Si cela m’était arrivé à moi, je ne serais plus prof, et peut-être en prison. J’ai du mal à digérer que Cassandre Fristot ait été condamnée illico presto et traînée dans la boue pour une pancarte, alors qu’on se tape comme « première dame » une ex-enseignante qui se vante ouvertement d’avoir commis un détournement de mineur. Est-ce vraiment la bonne personne pour représenter la France à l’étranger ? Je cite Natacha Rey vers la fin de sa vidéo pour Gérard Infos : « Une ou un prof qui détourne un élève mineur, a des relations sexuelles avec lui, sa place est en taule ». Étonnamment les sites subventionnés de chasse aux fake news ne font pas trop de mousse autour de la brigittologie, parce que le « détournement de mineur » pratiqué par ce iel qui proclame « les mineurs c’est mon combat » apparaîtrait trop vite sous la mousse.

« Tous les lycéens étaient amoureux d’elle »
© Faits & Documents


 Que si, plutôt que cette fake news officielle, on adhère à l’hypothèse de Natacha Rey et Xavier Poussard, la personne qui habite à l’intérieur de « Brigitte » serait un homme de 76 ans, ce qui, comme le sous-entend Natacha Rey dans ses deux interviews vidéo, rend plausible l’hypothèse de rapports relevant de la « pédocriminalité ». L’affaire Olivier Duhamel a vu récemment le déchaînement de la même presse qui n’avait pas de mots assez durs, bien que l’affaire fût couverte par la prescription et que le principal intéressé eût refusé de porter plainte, pour condamner une attitude de prédateur, et cautionner une enquête visant, je cite, à « identifier toute autre victime potentielle et à vérifier l’éventuelle prescription de l’action publique ». Pourquoi cette enquête sur Duhamel justifiée par ces termes précis serait-elle déplacée dans le cas de cette élyséenne personne, y compris si l’enquête était une « fake news » réalisée par un journal « d’extrême drouâte » ? Faut-il comprendre que si Olivier Duhamel avait été débusqué par Faits & Documents, Libération et Michel Onfray seraient montés au créneau pour dénoncer cet acharnement indigne d’une démocratie ? Pourquoi cette presse collabore tellement à l’omerta sur les turpitudes quand ces turpitudes touchent la macronie, alors qu’elle dénonce les turpitudes similaires qu’elle déniche ailleurs ? Duhamel a perdu son emploi au terme d’un lynchage médiatique, alors même que les faits étaient couverts par la prescription, et que l’enquête a abouti à un non-lieu. Mais n’est-on pas exactement dans le même cas dans l’affaire « Brigitte », même si l’on s’en tenait à la légende dégueulasse & dorée qu’on nous a vendue ?
Puis-je me permettre de suggérer à la presse coronazie coutumière des sondages bidon qui soutiennent le « nudge » de la tyrannie (« Êtes-vous prêt à vous faire injecter une 3e dose » ; « Vous réjouissez-vous à l’idée de faire piquouzer vos enfants au risque de les voir crever ? » ; « Bandez-vous à l’idée de réserver aux non-vaxinés le même sort que celui des juifs pendant la Seconde Guerre ? » ; « Trouvez-vous infâme le parallèle entre la façon dont ces assassins de non-vaxinés sont traités par notre bien-aimé gouvernement et l’apartheid ? »), un sondage inédit : « Êtes-vous d’accord pour qu’une enquête parlementaire soit ouverte pour savoir si une femme qui se vante d’avoir séduit son élève mineur est digne d’avoir un cabinet – ou un urinoir ? – à l’Élysée ? » Je suis curieux de connaître l’avis des Français sur la question.
La seule apparente information donnée par Libération avec plus ou moins de conditionnel mais reprise sans conditionnel par des sites de pseudo-médias, laisse présager de grands amusements si elle venait à se concrétiser : « Contacté par CheckNews, le cabinet de l’épouse du Président nous a indiqué que « l’avocat de Brigitte Macron » était « chargé de défendre ses intérêts suite à ces publications ». Ce dernier, Me Jean Ennochi, nous a confirmé ce mercredi soir qu’il y aurait « des poursuites ». Remarquez les circonlocutions, et bien sûr le plumitif se garde bien de faire remarquer que l’enquête de Faits & Documents étant parue en octobre, mais habilement datée entre le 15 avril et le 30 septembre pour les 5 numéros, le délai de 3 mois pour porter plainte contre une publication est forclos. Ils savent d’ailleurs très bien que beaucoup de ceux qui ont porté plainte contre Faits & Documents se sont cassé les dents. Le terme flou « ces publications » viserait donc plutôt des vidéos (censurées par la Kommandantur, donc contre qui exactement porter plainte ?) ou peut-être des articles commentant l’affaire, mais alors comment ne pas se ridiculiser si l’on porte plainte contre des commentaires d’une publication contre laquelle on n’a pas porté plainte ? Et puis sérieusement, si « Brigitte » veut faire analyser devant un tribunal et en public des centaines de documents comme celui-ci (qui n’est pas du tout évoqué dans l’enquête mais qui a été retrouvé par des internautes), ça risque fort de sentir le roussi pour la caste, plumitifs et politocards réunis, car on sait quand un grand déballage commence, mais pas comme il finit… et cela sans parler des documents supplémentaires que Natacha Rey a menacé de dévoiler.
Le problème avec Faits & Documents, c’est qu’avec eux un dossier peut en cacher un autre, et l’intérêt des petits marquis du pouvoir comme des plumitifs de Libé n’est pas forcément que les citoyens prennent connaissance des dossiers qui concernent leurs petits amis ou leurs propriétaires. Rappelez-vous comment la macronie s’est ridiculisée naguère lorsqu’elle a lâché les chiens contre Francis Lalanne, pour aboutir au bout de quelques jours à un non lieu. Ces chiens échaudés craindront-ils l’eau bouillante ? Au passage, notons que cette créature est dotée d’un « cabinet » et d’un « avocat », que nos impôts financent, et que Libération, qui a appelé à voter pour le candidat de la banque Rothschild au 2e tour en 2017, laisse passer ça comme coulant de source. On comprend d’ailleurs que cette presse lécheuse de bottes s’empresse à qualifier de « fake news » l’enquête publiée par un journal indépendant et sans pub qui révèle incidemment que c’est cette presse de caniveau qui nous a abreuvés de fake news sur la romance de la jolie prof de français qui a dépucelé son élève mineur et précoce. Ils nous ont vendu un délit comme un chromo et devraient être jugés pour cela, car ils sont juge et partie. Quant on tirera la chasse sur cette caste malfaisante, la presse gouvernementale partira dans les égouts avec les tyrans.
L’auteur de l’article de Front populaire termine en insultant les gens qui soutiennent cette thèse (et non « accusation »). Je cite : « À ce stade, il n’y a plus qu’à soupirer et à lâcher un laconique « Adieu les cons » ». Comme j’en ai un peu marre de me faire insulter, je suis ravi de cette insulte, comme de toutes celles proférées publiquement par les covidistes qui traitent les non-vaxinés d’assassins ou réclament qu’on les traite comme on ne traite pas les terroristes. Comme on dit dans les cours de récréation, « c’est eux qui ont commencé ». Et si l’affaire me tient à cœur, c’est parce que ce détour me semble la seule façon de réveiller nos concitoyens lobotomisés, de les tirer de cette bouffée délirante qu’aura été le covidisme. Avec cette révélation d’un secret de polichinelle et d’une affaire sordide qu’on tient sous le boisseau à force de fake news, on tient une chance de leur faire comprendre avec un choc salutaire quel genre de psychopathes nous imposent cette tyrannie sanitaire. Ce même tyranneau qui nous ment à longueur de journée (« Je n’imposerai jamais d’obligation vaxinale »), a utilisé les services & l’argent de l’État pour imposer un mensonge scandaleux sur sa vie privée.

On dit merci qui ? MERCI Manu & Jean-Michel. Manif « d’extrême drouâte », 18 décembre 2021.
© Lionel Labosse

Donc à ces torcheculs coronazis, à ces fascistes de l’extrême centre, à ces comploteurs éhontés, à ces covidistes fanatiques, à ces dealers adeptes du marketing de la première dose offerte, je propose de soupirer et de lâcher un laconique « Adieu les torchons ». Pour ma part j’ai supprimé Collibération de mes favoris, et je n’ai pas prolongé mon abonnement à Front populaire. En effet, en 2020, je m’étais laissé abuser par Michel Onfray, ce philosophe-covidiste-de-plateau-télé-qui-a-choisi-ses-lunettes-comme-logo-de-son-canard, qui s’était affiché avec le Pr Raoult pour attirer les gogos, avant de le trahir de la plus lâche des façons, sans jamais accepter un débat avec lui sur les vaxins. Je mets au défi Michel Onfray, plutôt que de laisser faire la basse besogne par un de ses seconds couteaux, de publier une vidéo où il affirmera publiquement en mettant sa main à couper que Brigitte Macron est une femme cisgenre aussi vrai que 2 et 2 font 4, et que le fait qu’elle ait affiché un rapport érotique avec un élève mineur ne pose aucun problème selon sa conception philosophique de la morale (qu’on a connue moins laxiste sur ce genre de sujets), qu’enfin Mimi Marchand est une conseillère en communication au-dessus de tout soupçon. Mimi Marchand ? Connais pas, dit-on à Collibération et à Front populaire. Comme disait Coluche, « Circulez, il n’y a rien à voir » !
On verra !

Allez, pour terminer, voici à quoi ressemblera dans dix ans la chaîne d’informations démocratique unique, fusion de Libé, Le Monde, BFM, Front Populaire, contrôlée par le CSA.

 Si vous voulez que la presse et l’intelligentsia cessent leur omerta sur ce scandale, vous pouvez faire circuler cet article.

 Cet article a été repris sur Profession gendarme le 20 décembre 2021.

Lionel Labosse.


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