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Exclusif : 100 % d’entre nous allons mourir.

Mortalité en France : petit exercice de réinformation.

Reste à choisir de mourir en homme libre ou comme un poulet en batterie

samedi 17 avril 2021, par Lionel Labosse

Voici un exercice de réinformation que j’ai proposé à mes étudiants (moyenne d’âge 19 ans), en partant de l’article de Wikipédia sur la mortalité en France.

Tout d’abord, faites l’exercice sans tricher en piochant les réponses dans l’article de Wikipédia (mais sans débrancher votre cerveau !)
 Combien la France compte-t-elle d’habitants ?
 Combien de morts par an en France ?
 Combien de morts par jour en moyenne (chiffre précédent divisé par 365).
 Pourcentage de la population française qui meurt chaque année ?
 Quelles sont les deux causes principales de mortalité ? Avec quel nombre de morts par jour pour chacune des deux causes ?
 Quel rapport entre le nombre de morts attribués au Covid et le nombre de morts total ?

Bien : vous avez terminé l’exercice (on a dit sans tricher !) Alors vérifions les résultats :

 Combien la France compte-t-elle d’habitants ?
Bon là, ils ont tout de suite donné la bonne réponse : 67 millions.
 Combien de morts par an en France ?
Mes étudiants ont donné des propositions qui allaient de 100 000 à 1 million !
Précisons sur ces deux questions un angle mort que je n’ai jamais entendu mentionner. Si un lecteur a des lumières, je suis preneur : les Français vivant à l’étranger et mourant à l’étranger d’une part, et les étrangers vivant en France et mourant en France d’autre part, sont-ils comptés dans les statistiques de « Mortalité en France » ? Dans ce cas, il y aurait une énorme erreur car des morts seraient comptés deux fois ! Je cite Wikipédia : « En 2019, il y a eu 613 243 décès en France (Outre mer inclus) — contre 609 648 en 2018 et 606 274 en 2017 — pour une population de 66,89 millions d’habitants soit un taux de mortalité de 9,1 pour 1000, un taux stable sur les 10 dernières années ». « Décès en France » : pas « décès de Français ». Cette ambiguïté fait peut-être commettre une légère erreur à Christophe Alévêque dans son sketch (voir ci-dessous). Cependant l’article de Wikipédia Démographie de la France nous apprend : « La population d’un pays comprend l’ensemble des ressortissants du pays considéré, présents ou temporairement absents, ainsi que les étrangers résidant de manière permanente dans ce pays. La population totale inclut : les forces armées nationales stationnées à l’étranger, les marins marchands en mer, le personnel diplomatique à l’étranger, les étrangers civils résidant dans le pays et les personnes déplacées résidant dans le pays. Elle exclut : les forces armées étrangères stationnées dans le pays, le personnel diplomatique étranger, les civils étrangers résidant temporairement dans le pays ». Une véritable usine à gaz ! Mais il a fallu que je m’attelle à cet article pour réaliser qu’il n’y a pas 67 millions de Français, mais 67 millions d’habitants en France, sauf certains, etc., etc. ! Si l’on en croit ce paragraphe, la population mondiale compterait un grand nombre de personnes comptées en double !
Mais continuons, en faisant abstraction de cette précision peu compréhensible. On va prendre à la louche 613 000 morts, sachant qu’avec l’arrivée à l’âge de la vieillesse de la génération du baby-boom, les personnes nées à partir de 1945 ont 76 ans en 2021, et mauvaise nouvelle, elles auront 80 ans en 2025, donc il est NORMAL que ce nombre de décès augmente. Je vais d’ailleurs plutôt prendre un chiffre de 618 000 pour prolonger cette courbe inéluctable d’augmentation du nombre de morts s’il n’y avait pas eu ce virus, alors que le nombre annoncé pour l’instant est de 654 000 décès pour 2020. Et la baisse de la natalité en janvier 2021 a été de 13 % (alors que le délire coronaviral n’a commencé qu’en février et que jusqu’à preuve du contraire, la gestation dure 9 mois) ; il existe un risque que les chiffres de natalité de 2021 creusent la pyramide des âges comme la Seconde Guerre mondiale, ce qui accroîtra encore le pourcentage de mortalité d’ici quelques années, tout en diminuant le nombre de jeunes en âge de cotiser par leurs impôts pour rembourser la dette pharaonique que les branquignols qui nous gouvernent ont contractée pour financer leur gestion aberrante de cette épidémie. La conséquence, il n’y a pas besoin d’être Mme Soleil pour la connaître : prolongement de l’âge de départ en retraite, baisse des salaires, etc.
 Combien de morts par jour en moyenne (chiffre précédent divisé par 365).
Réponse : 1680 morts par jour en France ; 1693 avec une projection à 618 000 morts que j’ai extrapolée en continuant la courbe logique d’évolution du nombre de morts par an à cause du vieillissement accéléré de notre population.
 Pourcentage de la population qui meurt chaque année ?
Réponse : 0,92 % (avec le doute précédemment émis : mort en France ≠ mort français ?)
 - Quelles sont les deux causes principales de mortalité ? Avec quel nombre de morts par jour pour chacune des deux causes ?
Réponse : cancer et maladies cardio-vasculaires. Les chiffres donnés par l’article de Wikipédia datent de 2010 et 2011 avec cette année-là 540 000 morts, et j’applique le même pourcentage sur 618 000 morts. La cause de mortalité « cancer » est à 27,3 %, ce qui donne 462 morts / jour. La cause de mortalité « maladies cardio-vasculaires » est à 26 %, ce qui donne 440 morts. Donc sur les deux premières causes de mortalité, 902 morts par jour, 53,3 % des morts.

Barre symbolisant tous les présents en France en 2020, dont les morts dans l’année.
© Lionel Labosse


 Quel rapport entre le nombre de morts attribués au Covid et le nombre de morts total ?
Cela est à comparer avec le nombre de « morts du Covid » que les croque-morts nous ont proclamé chaque jour depuis mars 2019, avant de se contenter de le publier sur des sites terrorisateurs. Le bilan du 21 mars sur les chiffres des 7 derniers jours disponibles sur le site Eficiens (du 14 au 20 mars) est de 264 morts par jour en France (donc des Français et des étrangers, à compter ou non dans les statistiques, le problème reste entier). Et vous pouvez trouver sur le même site en remontant sauf erreur aux 10 premiers jours d’avril 2020, le pic atteint (sur 10 jours en moyenne) de 918 morts par jour. Sachant que les comorbidités sont la règle, et que lorsque les médecins cochent la case « Covid » sur les certificats de mort en cause n°1 et « cancer » en cause n°2, les chiffres définitifs qui seront connus dans quelques mois révèleront la manipulation. À titre d’exemple, rappelons le cas de Giscard d’Estaing, comptabilisé dans le tas des morts « des suites de la Covid-19 » selon l’article de Wikipédia, alors que le même article nous apprend qu’il avait été « hospitalisé, cette fois au CHU de Tours, pour une insuffisance cardiaque — alors qu’il s’était fait poser des stents plusieurs années auparavant ». Des militants allemands ont érigé un mat symbolique la réalité de l’épidémie, qu’un ami a repris et installé pour la première fois le 4 avril sur la place de la République à l’occasion de l’opération Sport sur ordonnance (tous les dimanches à 11 h). Photo ci-dessus. La barre totale de plus de 6 mètre représente tous les présents en France en 2020 ; les 6 cm représentent les 660 000 morts dans l’année, et la petite barre verte de 1 cm les 70 000 morts étiquetés « Covid », pour lesquels on a incarcéré tout le reste de la barre…
Le professeur Raoult a insisté sur le fait que les statistiques de mortalité en 2020 ont révélé une baisse de la mortalité des moins de 65 ans ! Affirmation bien entendu passée à la moulinette par les « journalistes » qui ont remplacé l’investigation par la décrédibilisation systématique de toute personne qui tient un autre discours que le discours terrorisant de la classe politico-médiatico-big-pharmaceutique, mais qui aboutit quand même à la conclusion que ben oui, Raoult a raison. Mais au lieu d’éplucher les propos de Raoult, que n’ont-ils informé leur public sur l’étude en question avant que Raoult n’en parle ? Parce qu’ils passent sous silence toute info qui ne va pas dans le sens de la terreur !

« Les conspirationnistes dans le poulailler » par Schluuz
© Schluuz

J’espère que ce petit article vous permettra d’éclairer vos étudiants ou vos interlocuteurs qui lorsque vous plaidez pour la fin de la dictature sanitaire, vous lancent au visage : « 300 morts par jour ! », sans même parvenir à insérer un verbe dans leur phrase tant ils vivent dans la panique créée par le gouvernement et les médias dont on ne sait plus lesquels sont à la botte de l’autre.

 Pour compléter cette réinformation :

 Statistiques de l’Insee pour l’année 2017 : « 606 000 personnes sont décédées en France en 2017, la moitié avait plus de 83 ans ». J’en extrais cette citation : « En outre, l’épidémie de grippe hivernale amorcée fin 2016 a entraîné un pic de décès exceptionnel en janvier 2017 : 67 000 décès en France métropolitaine ce mois-ci. Ce niveau mensuel a été dépassé pour la dernière fois en décembre 1969, quand la grippe hivernale dite « de Hong Kong » avait atteint la France ». J’ai regardé les chiffres de la population sur Wikipédia (Démographie de la France) : en 1969, la France métropolitaine comptait 50,3 millions d’habitants et le chiffre de 573 000 morts (mais déjà 553 000 en 1958, donc seulement 20 000 de plus), n’a été dépassé qu’en… 2015, et depuis il augmente chaque année. L’explication est simple : amélioration de la médecine depuis 1970, moins de morts sur les routes, mais contrecoup depuis 2015 par le vieillissement de la population aggravé par l’étrécissement du bas de la pyramide des âges, encore aggravé par la baisse des naissances à cause de la politique de terreur actuelle, sans oublier l’augmentation de la population vivant sur le territoire, et le nombre de migrants qui arrivent avec une santé fragile ! Faites attention quand vous manipulez ces chiffres, aux différences induites par la prise en compte ou non, au fil des années, des DOM-TOM et de Mayotte en particulier dans cette étude de l’INED.


 Une vidéo anonyme du jeune économiste de « Décoder l’éco » en date du 14 janvier, que j’ai trouvée en lien sur Réinfocovid, et qui explique avec des données statistiques, que la surmortalité Covid est uniquement due à l’arrivée massive à l’âge de la vieillesse des babyboomers. Voir aussi deux autres vidéos pédagogiques de « Décoder l’éco » consacrées, l’une à « la moisson des morts à travers les âges », l’autre à « La dictature des tests ».
 Une étude de l’Ined signée Gilles Pison et France Meslé a été publiée en mars 2021. Elle revient sur le chiffre de 68 000 « décès supplémentaires imputables à l’épidémie de Covid-19 », en corrigeant ce chiffre à « 42 000 décès supplémentaires en 2020, liés à la pandémie de Covid-19 ». Ce n’est pas écrit, mais mon avis personnel est que nombre de ces décès supplémentaires ne sont pas dus au virus, mais au syndrome de glissement des vieillards brusquement privés de leurs proches et de tout traitement autre que le paracétamol et le ©Rivérantril, et matraqués de messages anxiogènes. Vous remarquerez au passage l’ambiguïté des chiffres car l’INED signale « 599 000 décès en 2019 » alors que Wikipédia en donne 613 000. Comment s’y retrouver ? D’autre part je suis désolé, mais le fait d’établir une augmentation de mortalité en se référant uniquement à l’année précédente constitue une scandaleuse erreur méthodologique, qui ignore le fait établi des « années moisson ». L’étude de l’Insee parue le 11 mai 2020 faisait un comparatif avec « la moyenne des décès survenus durant la même période entre 2015 et 2019 », ce qui était plus sérieux que l’INED qui ne se base que sur l’année 2019, mais il semble que l’État ait donné ordre à tous les organismes d’État de mentir par tous les moyens. Pourquoi n’a-t-on pas demandé à la même équipe ayant livré l’étude de mai, de poursuivre son étude ?
 Une excellente séquence sur LCI, pour une fois, où le Dr Gérald Kierzek explique l’imposture absolue des chiffres de réanimation, alors que les autorités empêchent d’utiliser des lits en clinique et des lits d’hôpitaux quasiment prêts à être réaffectés, pour ne pas reconnaître l’erreur de les avoir fermés. Les « transferts de patients » un temps envisagés sont de pures opérations de com ultra-coûteuses. Et l’on constate ce que le Pr Perronne a écrit en juin dans son livre : « Certaines années l’épidémie de grippe, c’est tranquillou. Mais d’autres années sans que l’on puisse le prévoir, c’est la cata. Le vaccin grippal, c’est comme le beaujolais nouveau, il est différent chaque année afin de suivre l’évolution des virus mutés qui circulent. Ainsi les années où des mutants outsiders du virus circulent, ils n’étaient pas prévus dans la composition du vaccin grippal qui vient de sortir ! Il en résulte une baisse d’efficacité du vaccin responsable d’une vague épidémique beaucoup plus élevée. Ces années­-là on ne sait plus où caser les malades qui contaminent beaucoup de personnes dans les hôpitaux » (p. 157). Attention, si LCI commence à dire que Perronne le renégat avait raison, LCI ne va plus pouvoir interviewer les mégastars de la Macronie, et son audience va baisser…

 Et maintenant peut-être aurez-vous envie de lire l’article du Dr Gérard Maudrux « J’Accuse ! » sur son tout nouveau blog, après avoir été viré du Quotidien du Médecin pour d’obscures raisons.


 Une vidéo de Christophe Alévêque a été censurée par Youtube, après l’entrevue de Bigard, et a trouvé refuge sur France-Soir, avant d’être rétablie sur Youtube. Il parodie une conférence de presse de Pol Pot basée sur des statistiques. Les fascistes n’aiment pas l’humour. Pourtant ils nous ont fait défendre la liberté de blasphémer. Sinon, un détail dans cette vidéo : Alévêque ironise sur le fait que l’on a acheté 70 millions de « vaccins » alors qu’il y a 67 millions de Français. Il commet la même erreur que je pointais en début de cet article : les 67 millions de Français n’habitent pas tous en France, et ne vont pas revenir se faire « vacciner », et les millions d’étrangers qui vivent en France comptent peut-être des gens qui ont envie de recevoir ce « vaccin »… sans compter l’ambiguïté sur le nombre de doses nécessaires, et ceux que l’on va jeter parce qu’ils auront été mal conservés, feront partie de lots corrompus, etc.

Pour les lecteurs de cet article qui trouvent normal que l’on supprime d’un claquement de doigt les comptes youtube de France-Soir, les comptes Twitter ou Facebook de tous les individus qui critiquent la pensée unique, que le conseil de l’Ordre exerce des pressions démentielles sur les médecins qui réclament le droit de soigner leurs patients, je terminerai par une citation bien connue de Martin Niemöller :

« Quand les nazis sont venus chercher les communistes,
je n’ai rien dit,
je n’étais pas communiste.

Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates,
je n’ai rien dit,
je n’étais pas social-démocrate.

Quand ils sont venus chercher les syndicalistes,
je n’ai rien dit,
je n’étais pas syndicaliste.

Quand ils sont venus me chercher,
il ne restait plus personne
pour protester. »

 Après la parution de cet article, je prends connaissance d’une nouvelle salve de « Décoder l’éco » : « Les mesures prises pour l’épidémie ont-elles vraiment sauvé des vies ? » Problème : notre décodeur anonyme parle des « Français qui décèdent » à partir de la source de l’Insee où il prélève ses chiffres, alors qu’on a vu que la mortalité concerne non pas les « Français », mais toutes les personnes vivant de façon permanente en France et exclut les Français vivant de façon permanente à l’étranger. Il parle aussi de 65 millions de Français en 2020, au lieu de 67. Il semble qu’il prenne les chiffres de la France métropolitaine. J’en profite pour soulever une autre erreur de mon chef dans mon article que j’ai rectifiée ci-dessus mais qui demeure dans la version de Profession gendarme : la baisse de la natalité de 13 % n’est pas sur 2020 mais sur janvier 2021 (erreur de lecture de l’article mis en lien). Ayant posté ce commentaire sous cette vidéo du 12 mars, j’ai eu la surprise qu’il me donne raison : « Bonjour, Oui vous avez raison sur les 2 points. J’ai bien fait attention pour tous les calculs que tout soit homogène, même si j’ai simplifié le discours pour l’article et la vidéo. Les étrangers mourant en France sont peu nombreux, et je ne fais des calculs que sur France Métropolitaine pour avoir un territoire plus homogène et contigu. Tous mes travaux sur la mortalité ont été reproduits plusieurs fois par des mathématiciens et des épidémiologistes » Il ajoute qu’il a participé à l’article avec Toubiana ci-dessous, ce qui me le fait identifier sauf erreur comme Pierre Chaillot de l’Insee, l’un des 4 signataires. Enfin, comme je lui proposais de « checker » mon article, il me répond : « Il est vachement bien votre article ! » J’en rougis !


 Encore après la publication de cet article, j’entends une entrevue du Pr Laurent Toubiana sur Sud-Radio (ci-dessus), qui met les pendules à l’heure sur la surmortalité Covid : « Pour la population française dans son ensemble, les auteurs estiment à 3,66 %, l’excès par rapport à la mortalité attendue en 2020, soit 23 000 morts au-delà de la moyenne des années précédentes. « Il ne faut pas oublier également que la population française vieillit », ajoute le chercheur. Il faudra également s’attendre à une surmortalité dans les années à venir pour ces raisons démographiques. « Par ailleurs, l’âge médian au décès à l’hôpital des malades de l’épidémie de coronavirus est de 85 ans et près de 92,5 % des personnes avaient 65 ans et plus », rappelant que cette maladie tue principalement des personnes âgées. » Si on se rapporte à la publication dirigée par le Pr Toubiana sur le site de l’Irsan, on lit cette mise au point dès la première page : « 3,66 % de surmortalité représente 23 mille morts en excès sur les 629 mille attendus normalement en 2020. Ces chiffres doivent être mis en perspective avec les 400 mille morts annoncés par le Président de la République Française en octobre 2020 pour justifier la mise en place du deuxième confinement. L’année 2019 avait montré en revanche, un défaut de mortalité de 2,92 % directement lié à l’effet de moisson des épisodes grippaux de 2015 et 2017. La surmortalité observée en 2020 au passage de l’épidémie de Covid-19 ne serait qu’un rattrapage du défaut de mortalité de 2019. Utiliser la mortalité de 2019 en tant qu’élément de comparaison pour estimer l’impact de l’épidémie en 2020 comme cela est pratiqué couramment, est donc une simplification doublement biaisée. » […] « L’épidémie qui touché la France en 2020, montre une surmortalité nulle pour les moins de 65 ans (soit 80 % de la population) et très faible pour les plus de 65 ans (3,34 % d’excès pour cette classe d’âge). Ce résultat est très loin des hécatombes annoncées et pour laquelle des mesures sanitaires disproportionnées ont été mises en œuvre ».
 Le 28 avril, nouvelle vidéo formidable de Décodez l’éco : « 100 000 morts, vraiment ? » qui démonte de manière implacable le mythe des 100 000 morts du covid atteint en avril 2021. Le problème est que les données définitives de l’Insee sur les causes de mortalité en 2020 ne seront pas publiées avant suffisamment longtemps pour que les covidistes aient achevé leur crime.

 Voir un exercice d’arithmétique pour les petits enfants : le coût des tests.

 Article repris sur Profession gendarme.

Lionel Labosse


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