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Halte à la maltraitance dans les établissements de soins.

Lettre type à adresser aux derniers covidistes fanatiques de la santé.

Le combat doit durer jusqu’au dernier covidiste.

samedi 23 décembre 2023, par Lionel Labosse

Un ami m’a communiqué cette lettre (purgée de toute donnée personnelle) qu’il a adressée à des médecins covidistes qui persistent à imposer contre la loi le port du masque dans leur établissement de soins où pour son malheur, sa mère est internée, euh, je veux dire hospitalisée (il s’agit en l’occurrence d’une hospitalisation brève). Il a accepté que je la reprenne, à titre d’exemple à adapter pour ceux d’entre nous qui se verraient confrontés à un cas semblable. J’aurais été pour ma part moins diplomate, et j’aurais insisté sur la maltraitance que constitue pour nos anciens la privation de la vue du visage de leurs proches, surtout quand ils sont privés d’une partie des sens auditif & visuel. Ce type de médecins sont de véritables ordures, matons plutôt que soignants, mais bien entendu nous devons composer puisqu’il ne s’agirait pas que lesdites ordures se vengent sur nos parents dans leur prison de santé. À notre modeste niveau, nous ne pouvons pas mener la valeureuse croisade du Syndicat Liberté Santé contre les corrompus de plateaux-télés, mais nous pouvons tirer les oreilles à des covidistes de proximité.

« Le 5 décembre 2023

Madame, Monsieur les docteurs,

Ce 5 décembre 2023, le personnel du service de gériatrie m’a interdit de rendre visite à ma mère, sous prétexte que je ne portais pas de masque. On m’a dit que vous en étiez responsable, je m’adresse donc à vous pour vous expliquer mon incompréhension.

Avant 2020, une telle obligation n’existait pas. Et même le 5 juin 2020, l’OMS dans son rapport « Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19 » précisait en page 7 : « A l’heure actuelle, il n’y a pas d’éléments directs (provenant d’études sur la COVID-19 et sur les personnes en bonne santé au sein de la communauté) sur l’efficacité du port généralisé du masque par les bien-portants en vue de prévenir les infections dues à des virus respiratoires, notamment celui de la COVID-19. »

Et puis sous la pression d’un lobby médical, l’OMS a changé d’avis (sans s’appuyer sur une solide étude) et l’obligation du masque a été imposée dans de nombreux pays européens. Le but était de diminuer les effets de l’épidémie de Covid. Deux ans plus tard, on a du recul et les statistiques délivrent des informations très nettes. Elles montrent que, en Europe, les pays qui ont mis en place cette obligation sont ceux qui ont eu le plus fort taux de Covid. Et c’est confirmé par de nombreuses études : 47 affirment l’inefficacité des masques pour COVID et 32 autres affirment leurs effets négatifs sur la santé.

Les masques arrêtent la propagation du virus ? Voici un outil pour transporter du sable !
© t.me/laroseblanchefr

Les statistiques montrent aussi que les pays les plus vaccinés sont ceux où il y a eu le plus de morts et que ceux qui ont employé des traitements précoces, comme l’ivermectine, sont ceux où le taux de décès a été le plus faible (c’est très net entre l’Europe et l’Afrique, entre l’Europe et une grande partie de l’Asie). On se rend donc compte que toutes les obligations imposées en notre pays par le lobby provax (celui appelé Big Pharma) n’ont fait qu’aggraver la crise : interdiction des traitements précoces, confinements, état d’urgence, vaccination quasi-obligatoire (même les jeunes ! même les femmes enceintes !), port obligatoire du masque (même à l’extérieur ! même les enfants !). Les pays qui s’en sortent le mieux sont ceux qui n’ont pas appliqué ces contraintes.

Malgré ce constat sans appel, le même lobby médical, au moins en partie, persiste dans l’erreur et continue obstinément à vouloir vacciner et à obliger au port du masque dans leurs locaux hospitaliers, à défaut de le généraliser. Il a même lancé récemment un appel au ministre de la santé. Il y est question de covid long (en ignorant que la meilleure prévention est assurée par les traitements précoces [1] et – c’est nouveau – d’infections nosocomiales, sans s’appuyer sur une étude.

Quand on échoue à ce point là, on fait son mea culpa et on repart sur de meilleures bases. Or ce lobby donneur de leçons, d’injonctions et d’injections refuse de reconnaître la réalité des échecs de 2020 et 2021.

Dans ce contexte, réinstaurer des contraintes ne devrait se faire qu’avec une solide argumentation. Or, quand le personnel soignant, à qui vous assignez un rôle de videur, m’a interdit de voir ma mère, les justifications étaient légères. Il m’a parlé de Covid, comme si les soignants ne l’attrapaient pas en portant un masque (ça se saurait !) [2]. Les infections nosocomiales ont aussi été évoquées, mais quelle étude prouve son efficacité dans un service de gériatrie ? Ce n’est pas une salle de chirurgie, le risque n’est pas le même (et là ce sont des masques FFP2). Quand j’ai demandé d’où venait une telle consigne impérative, on m’a répondu que c’est l’État, avant d’admettre que ce n’est pas vrai, après que j’ai demandé le décret d’application. J’ai dû insister pour connaître vos noms, en tant que responsables de ces contraintes d’un autre âge, lesquelles ne sont même pas justifiées par affiche, avec vos signatures, à l’entrée.

Deux autres réalités gênantes que vous ne pouvez pas ignorer. 1) Utiliser des quantités impressionnantes de masques pour des raisons non appuyées par de solides études, produit une pollution importante qui pourrait être évitée. 2) Ma mère a été vaccinée contre le Covid, les contraintes que vous imposez prouvent l’inutilité de cette injection.

En avril dernier, j’ai pareillement été interdit dans un laboratoire où je venais faire une prise de sang. On a pareillement commencé par me dire que l’État l’imposait, avant de reconnaître que cela venait de la direction du laboratoire. J’ai contacté la direction, qui m’a affirmé avoir averti tout son personnel que la contrainte avait été levée. J’avais eu affaire à un responsable qui effrayait le public par un danger imaginaire et brimait son personnel en l’obligeant à porter un masque durant le service (inspirer l’air que l’on vient d’expirer est mauvais pour la santé). J’ai pu faire ma prise de sang sans masque, avec du personnel sans masque. C’est maintenant partout pareil dans les laboratoires ouverts au public et il n’y a eu aucune catastrophe.

« Bas les Masques », Dentego, 12 juin 2023.
© Lionel Labosse

Je vous demande de revenir sur cette interdiction d’entrer sans masque, interdiction que le gouvernement, à juste titre, refuse de généraliser. Si vous refusez, merci de me donner connaissance d’études prouvant l’efficacité de port du masque dans un service tel que la gériatrie.

J’ajoute que je comprendrais que vous recommandiez le masque en cas de symptôme de rhume, grippe ou Covid et que, en ce cas, je m’y plierais. Mais aujourd’hui, je suis en très bonne santé. Et je signale que, l’an dernier, j’ai été vacciné contre le tétanos, je garde ma confiance envers la médecine d’avant 2020.

En espérant, que dans une société de plus en plus illusoirement sécuritaire, attentant aux libertés fondamentales (même respirer librement), où trop de citoyens obéissent aveuglément à des autorités sanitaires qui ont pourtant montré de graves défaillances, vous comprendrez ma réaction.

Je vous adresse, Madame, Monsieur, mes meilleures salutations. »

 Voir notre article Utilité des masques chirurgicaux contre le Covid, ainsi que le discours de la députée Christine Anderson datant de mai 2023, lors d’un sommet européen sur le covidisme Terminons par une chanson.


 Article repris sur Profession gendarme le 10 décembre 2023.


© altersexualite.com, 2023
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[1Voir cet article et celui-ci.

[2L’hôpital, aux pratiques réputées d’excellence, le Brigham and Women’s Hospital de Boston, dans le Massachusetts, malgré l’emploi systématique des équipements de protection, au premier chef desquels les masques (y compris FFP2), a fait face à une énorme épidémie de covid-19.