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Requête au CSA pour que les médias audiovisuels respectent l’équilibre vaccinistes / traitementistes
dimanche 3 janvier 2021
La presse, les radios et télévisions d’État ou subventionnées ne parlent que du « vaccin », et leurs propos s’apparentent à de la publicité rédactionnelle pour un produit de Pfizer dont les données sont secrètes, sans débat contradictoire. Ce n’est plus la démocratie, mais la pseudocratie sans complexes. Sud-Radio proposait dimanche 3 janvier un débat intitulé « COVID 19 : La bureaucratie française ralentit-elle la campagne de vaccination ? » France-Info annonce une journée spéciale vaccin lundi 4 janvier. Ces médias n’ont pourtant eu de cesse de relayer les fake news publiées par le Lancet et autres soi-disant revues de sciences pour freiner au maximum les médicaments efficaces contre le Covid-19, et ont appuyé les méthodes staliniennes de l’État et du Conseil de l’ordre des médecins pour ralentir ou passer sous silence la publication d’études positives sur les traitements précoces. La méta-analyse des 186 études (au 2 janvier 2021) incluant l’hydroxychloroquine qui concluent à 100 % à un effet positif en traitement précoce est pourtant disponible depuis des mois, mais on ne donne la parole qu’aux vaccinistes. Les traitementistes sont interdits d’antenne, voire traités de « rassuristes ». Comment le CSA (Conseil supérieur de l’audiovisuel) peut-il laisser faire ça ? La démocratie c’est le débat contradictoire, pas la pensée unique ! On ne va pas se laisser bouillir comme des grenouilles ! Le collectif Laissons les médecins prescrire a proposé un manifeste « La quatrième voie » déjà signé par 100 000 personnes dont un grand nombre de soignants. Ils prônent le traitement précoce, et ils ne sont pas les seuls ; de nombreux médecins dans le monde entier organisent la « Résistance traitementiste ». Ces médecins qui critiquent la stratégie unique des gouvernements occidentaux ne sont pas des « antivax », mais des traitementistes qui s’opposent aux vaccinistes. Le CSA doit veiller à un équilibre entre ces deux options dans les émissions de service public ou dans l’audiovisuel subventionné, et rappeler aux journalistes la nécessité de respecter un équilibre entre vaccinistes et traitementistes.
Chaque citoyen, chaque contribuable, peut s’adresser anonymement au CSA sur cette rubrique qui indique : « Le CSA tient compte de l’ensemble des remarques des téléspectateurs et des auditeurs dans son travail de régulation du secteur audiovisuel. Vous pouvez envoyer votre remarque de façon anonyme au Conseil supérieur de l’audiovisuel. Toutes ces remarques sont triées et lues attentivement. Elles sont une source d’information essentielle pour mieux connaître vos attentes. Si ces remarques sont en effet toutes lues, en revanche aucune réponse ne sera envoyée. »
Voici une remarque que j’ai postée ce jour :
« Bonjour. Sud-Radio proposait ce dimanche 3 janvier matin un débat intitulé « COVID 19 : La bureaucratie française ralentit-elle la campagne de vaccination ? » France-Info annonce une journée spéciale vaccin lundi 4 janvier. Dans tout ce que je peux entendre sur ces radios, on ne donne la parole qu’aux vaccinistes. Les traitementistes sont interdits d’antenne voire traités de « rassuristes », alors qu’ils sont nombreux, comme en atteste le manifeste du collectif « Laissons les médecins prescrire » « La quatrième voie » signé par 73 000 personnes dont un grand nombre de soignants, qui préconisent un traitement précoce. Les émissions de l’audiovisuel public s’apparentent à de la publicité rédactionnelle pour un produit de Pfizer, plutôt qu’à de l’information. Je paie des impôts, je cotise à la Sécurité sociale. J’estime avoir droit d’une part aux soins que je préfère, vaccin ou traitement précoce voire préventif, en accord avec mon médecin, en fonction des données médicales publiées qui font état de l’efficacité de nombreux médicaments en traitement précoce, comme ivermectine, hydroxychloroquine, azithromycine, etc., et qui feront peut-être, dans quelques mois ou années, état de l’efficacité et de l’innocuité de vaccins ou de thérapies géniques. J’estime d’autre part avoir droit à une information équilibrée, contradictoire, bref, démocratique, ce dont le CSA est garant. Le Dr Alain Houpert, sénateur et médecin radiologue, estime que les médias sont redevenus l’ORTF, fermés à une pluralité d’opinions, dans cette entrevue. Merci de bien vouloir rappeler les médias audiovisuels publics ou para-publics à leur déontologie, y compris à l’obligation de déclarer les conflits d’intérêts de tous leurs invités. Qui que vous soyez qui lisez ce message pour le compte du CSA, vous êtes également concerné, et je vous souhaite une bonne année 2021 à vous et à vos proches, une année de démocratie et de débat contradictoire. Pas une année de dictature stalinitaire. »
Vous pourriez en faire autant, en personnalisant votre message, et en faisant allusion à une ou des émissions précises de radio ou de télévision qui vous ont choqué. Vous pourriez même envoyer la copie de ce message à votre député ou à plusieurs députés ou sénateurs, dont on trouvera les adresses courriel ici :
ou sur les sites de l’Assemblée ou du Sénat pour plus de précision et pour une liste actualisée.
Pour conclure, je vous recommande une excellente émission diffusée le 2 janvier sur radio Courtoisie, avec le Dr Louis Fouché, Me Brusa, etc., dans laquelle il était question de ce « vaccin » de façon contradictoire. En ce qui concerne les conflits d’intérêts, on visionnera avec profit la leçon du Pr Éric Chabrière de l’IHU Méditerranée-Infection datée du 15 décembre 2020 intitulée « La vérité sur les conflits d’intérêt », qui cite France-Soir. Le soutien indéfectible des professeurs de l’IHU de Marseille à Didier Raoult a d’ailleurs de quoi surprendre. N’est-il pas évident que n’importe lequel d’entre eux serait accueilli à bras ouverts chez les détracteurs de Raoult s’il acceptait de trahir son mentor et de déclarer que l’hydroxychloroquine et l’azithromycine sont de vastes plaisanteries ? Et pourtant ils restent fidèles à Raoult et à leur conscience. Étonnant, non ?
Mise à jour du 7 janvier :
L’AFP nous apprend le 6 janvier
https://www.lefigaro.fr/medias/carton-jaune-du-csa-a-rmc-pour-une-emission-avec-le-pr-perronne-20210106
que « RMC a été épinglé par le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) pour avoir manqué de « rigueur », « d’équilibre » et de « maîtrise de son antenne » lors d’une émission fin août avec le professeur Christian Perronne, selon une décision publiée mercredi au Journal officiel. »
On constate que le CSA, loin d’épingler les journalistes qui censurent les traitementistes ou omettent de signaler les conflits d’intérêts parfois énormes de leurs invités comme Karine Lacombe ou Martin Blachier, appuient le tabassage en règle du Pr Perronne décrété par la macronie.
Cela m’a inspiré une nouvelle remarque postée au CSA. Et vous, chers lecteurs, avez-vous posté une remarque ?
Un article de Coccyxgrue pour France-Soir.