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Qui a maudit les Kennedy ? de Laurent Guyénot

S’il n’est pas assassiné, Robert Kennedy Jr succédera à Donald Trump comme président des États-Unis.

Kontre Kulture, 2021, 220 p., 19 €

samedi 9 novembre 2024, par Lionel Labosse

Au lendemain de la victoire historique de Donald Trump du mardi 6 novembre 2024, les commentaires de nos amis complotistes ont bien sûr évoqué le rôle clé de Robert Kennedy Jr, mais toujours en appuyant sur son côté « complotiste sur la santé », comme l’a si bien souligné Jacques Nosferattali, la goule de la république qui ne semble toujours pas décidé à refermer sur lui le couvercle de son cercueil. Or Robert Kennedy Jr, c’est bien plus que ce rôle conjoncturel de redonner la parole au bon sens sur les questions de santé et de climat. De même que j’ai été (jusqu’à preuve du contraire), le seul à révéler une information qui me semblait, peut-être à tort, importante sur le mari de Kamala Harris et sur le gendre de Trump, je crois de mon devoir d’insister sur un point aveugle de la bombe Trump.
Ce qui va changer la face du monde, au-delà de la dénonciation des arnaques et des crimes covidiste & climatiste, c’est le dévoilement de la vérité sur les assassinats des Kennedy, qui constituent le fait géopolitique le plus important depuis la Seconde Guerre mondiale (cela sans parler des autres dévoilements ou déclassifications annoncés par Trump, comme le dossier du 11 septembre, la liste des invités d’Epstein et celle de ceux de P. Diddy, etc.). À cet égard, la lecture du livre que Laurent Guyénot a consacré à cette série de meurtres politiques est indispensable ; c’est à mon sens le livre qui donne la clé de la réélection de Donald Trump.
Les éléments principaux sont connus des complotistes, mais maintenus en dessous du point d’ébullition par la chape de plomb des innombrables relais des assassins des Kennedy, qui dirigent les États-Unis et l’Occident. Quand le monde saura, les comploteurs criminels risquent fort de tomber. La digue est très épaisse, semble monter aussi haut que Babel, mais on voit déjà ici ou là des fuites, cela dégouline de partout ; ils mettent des rustines, ils clouent des planches, mais l’eau du déluge de vérité filtre à nouveau sous les rustines & les planches, et goutte à goutte, la vérité va submerger le monde.
S’il n’est pas assassiné, Robert Kennedy Jr succédera à Donald Trump comme président des États-Unis et le monde sera libéré des plus grands comploteurs de l’Histoire.

Oui, Trump l’a annoncé à son de trompe, ils vont frapper fort, et ils vont le faire dès les premiers jours de l’arrivée officielle de Trump au pouvoir le 20 janvier 2025. Je pense même qu’ils vont commencer avant, de façon à couper l’herbe sous le pied de leurs adversaires. À leur place, j’aurais déjà enregistré une vidéo de révélations, et fait connaître son existence urbi & orbi, en cas de mort subite, s’adressant au peuple américain armé et l’exhortant à finir le travail.
Ces adversaires sont plus forts que l’aigle américain. Ils ont assassiné un président des USA, son frère et son fils, ont assassiné les tueurs à gages, et ont dissimulé leurs crimes avec la complicité d’innombrables agents infiltrés, ont inventé le concept et le terme de « complotiste » pour disqualifier tous leurs adversaires, comme l’a révélé Lance deHaven-Smith dans Aux origines de la « théorie du complot », et depuis 1963 et bien avant, ce sont eux qui dirigent en réalité les États-Unis. Cela fait 60 ans que les présidents du pays soi-disant le plus puissant du monde tremblent devant une poignée d’assassins qui ont liquidé à la face du monde leur président comme un vulgaire dealer.
Lyndon B. Johnson, qui faisait partie du complot, a imposé la chape de plomb et a fait éliminer la plupart des témoins du complot.
Richard Nixon savait tout et a maintenu le silence & le mensonge.
Gerald Ford n’a pas osé dire la vérité au peuple américain.
Jimmy Carter n’a pas osé dire la vérité au peuple américain. Il est toujours cliniquement vivant et on l’a fait déglutir un vote Harris devant les caméras.
Ronald Reagan, le cow-boy viril a fait caca sous lui à l’idée de révéler au monde la vérité.
George H. W. Bush a fermé sa grande gueule.
Bill Clinton a préféré se faire sucer par une stagiaire pendant qu’on assassinait sous son règne l’héritier des Kennedy qui faisait de l’ombre à sa femme, plutôt que de dire la vérité à son peuple.
George W. Bush a fermé sa grande gueule, alors qu’il devait la vérité au fils de Robert Kennedy, lui qui a eu la chance que son père ne soit pas assassiné par l’entité qui dirige en secret les États-Unis.
Barack Obama ferme sa gueule et a tout fait pour empêcher que la vérité soit proclamée.
Donald Trump I n’a pas osé l’ouvrir pendant son premier mandat.
Joe Biden, cliniquement vivant, n’a pas été autorisé à parler, même sous la forme d’une de ses nombreuses gaffes.
Donald Trump II, qui semble avoir compris ses erreurs, et Robert Kennedy Jr, n’ont pas d’autre choix que de les « dégommer » comme dirait Enrico Macias.
Donc accrochez-vous au bastingage. Ce montage de propos de Donald Trump sur l’arnaque climatiste n’est qu’un biscuit apéritif comparé à ce qui nous attend. Attention, c’est un montage, mais il reflète les propos réels de Trump, comme le confirme le lien sous la vidéo sur Crowdbunker.

Il est inutile de vous proposer des articles ou vidéos de la presse et des politocards coronazis en panique devant l’homme qui dénonce l’arnaque et la mafia covidistes ; ils pullulent comme la vérole dans le bas clergé. J’ai tendance à croire que, lorsqu’on a maintenu un mensonge sur trois meurtres de personnalités les plus hautes de l’État, on peut mentir sur une arnaque covidiste et climatiste pendant 4 ans ou 20 ans. En utilisant le mot « hoax », Donald Trump doit mesurer ses propos.
Concentrons-nous sur ce qui échappe pour l’instant aux commentateurs, peut-être faute d’avoir lu ce livre.

Une dynastie sacrée

Les Kennedy ne sont pas les Bush. C’est une dynastie de « démocrates » qui hante la mémoire des Étasuniens. De nombreux foyers populaires doivent encore être ornés de posters jaunissants de JFK, de son frère et de son fils assassinés par les ennemis de l’Amérique. Le titre et le graphisme de la couverture du livre de Laurent Guyénot vont d’ailleurs en ce sens, et l’on croit d’abord entamer la lecture d’un Agatha Christie !
La présence de Robert Kennedy Jr aux côtés de Trump n’est pas anodine. C’est l’âme des vrais « démocrates » qui rentre au foyer, chassant avec un crucifix et des gousses d’ail les démoncrates qui ont pris le visage des démocrates. Il leur reste à enfoncer un pieu bien affûté au cœur du vampire, et ils vont le faire.
Cette élection scelle la fin du faux clivage gauche/droite qui est aussi cliniquement vivant en France et dans la plupart des pays de la sphère occidentale. Il n’y aura plus aux États-Unis de « gauche » et de « droite » ; il y aura d’un côté les patriotes, de l’autre les agents des ennemis de l’Amérique qui ont tué les Kennedy et leurs idiots utiles qui n’ont toujours pas compris à quel point on les manipule.
Mon intuition est que, si Robert Kennedy Jr n’est pas assassiné, c’est lui qui prendra la suite de Donald Trump comme 48e président, peut-être même à mi-mandat, et vengera le meurtre de son oncle, son père et ses cousins (l’épouse de John Jr, enceinte, a également péri dans l’accident d’avion).
La saga des Kennedy avec ces trois assassinats, a des relents raciniens ; Robert Jr chez Trump nous fait penser à Astyanax recueilli par Pyrrhus dans Andromaque :
« Il élève en sa cour l’ennemi de la Grèce,
Astyanax, d’Hector jeune et malheureux fils,
Reste de tant de rois sous Troie ensevelis. »

À lire ce livre on s’étonne que les criminels aient laissé vivre un Kennedy, qui plus est un « Kennedy Jr », celui qui parmi les 11 enfants de Robert Francis Kennedy, perpétue son nom, de même que le petit John Fitzgerald Kennedy, Jr. était celui des 3 enfants de JFK qui portait son nom. On pourrait alors paraphraser Phèdre, et prévenir les criminels de leur étourderie :
« Prenez garde, seigneur : vos invincibles mains
Ont de monstres sans nombre affranchi les humains ;
Mais tout n’est pas détruit, et vous en laissez vivre
Un… »

N’ayez crainte, si Trump n’agit pas vite et bien, ils n’hésiteront pas à tirer les premiers, selon la bonne vieille loi de l’Ouest édictée par Eli Wallach dans Le Bon, la Brute et le Truand :

« Qui ? »

Alors bien sûr nous ne répondrons pas à la question « Qui ? », pour vous encourager à lire le livre, et pour faire un clin d’œil au génial Delawarde ! Sont-ce les méchants musulmans ? Sont-ce les méchants noirs ? Sont-ce les méchants Russes ? Sont-ce les méchants Chinois ? Sont-ce les méchants Cubains ? Les méchants Salvadoriens soumis au dictateur Bukele qui a mis en œuvre la devise « Drain the swamp » du dictateur Trump et a rendu à ses compatriotes la liberté de se promener avec leurs enfants ?
Ah non, j’y suis, ce sont les Astyanax, euh, je veux dire les Antivax !
Ce livre vous apprendra ou vous rappellera tout sur le traître à la nation Lyndon B. Johnson, responsable du crime de guerre nommé par Wikipédia Incident de l’USS Liberty. Vous saurez la vérité sur les agents du premier meurtre, Oswald, puis Jacob Rubinstein, alias « Jack Ruby ». Ceux du second, Sirhan Sirhan, vraisemblablement MK ultra ; pourquoi Ben Gourion démissionna. Pourquoi Khadafi fut assassiné après avoir exigé une enquête sur l’assassinat de Kennedy en 2009 à l’ONU. En quoi Charles de Gaulle avait tout compris lors de son célèbre discours du 27 novembre 1967 sur « Un peuple d’élite, sûr de lui-même et dominateur ».
La plus troublante des révélations de ce livre est le fait que si John F. Kennedy n’avait pas été assassiné, la guerre du Vietnam n’aurait pas eu lieu. Une guerre dont l’un des objectifs, identifié par De Gaulle, était de légitimer une autre guerre. Vous saurez pourquoi Joseph Patrick Kennedy, père de John et Robert et grand-père de John Jr et de Robert Jr, fut à l’origine de la malédiction présente dans le titre du livre. Vous apprendrez que JFK, bien qu’« authentique héros de guerre décoré » (p. 154), faisait l’éloge des objecteurs de conscience. Vous découvrirez l’étrange attitude du mari de Caroline Kennedy après l’« accident » qui causa la mort de son beau-frère John Jr et de son épouse qui portait peut-être dans son ventre la suite de la dynastie maudite. Vous découvrirez comment certaines enquêtes ont été délibérément bâclées [1] ; vous découvrirez qu’un certain hôpital militaire de la marine à Bethesda au Maryland, est le lieu de morts étranges autant que prématurées. Bref, vous saurez bien d’autres choses encore en lisant ce livre entre les lignes.
Bon allez, je crache le morceau : « Qui ? », c’est les Esquimaux !
Avec leur litanie quotidienne d’annonces prématurées, Trump et Kennedy, sans oublier Vance, tentent d’endormir la méfiance des maîtres de l’Amérique. C’est un festival de « damage control » en attendant la curée. On a même entendu Trump déclarer qu’il souhaite quitter l’OMS à cause de la mainmise de « la Chine ». Quelle rigolade ! On suppose que notre ami Bill Gates va y croire et s’abstenir de se mettre hors de portée dans un paradis fécal !
Un petit poème pour terminer :


 Le présent article est proposé en marge d’une entrevue sur Tribune Libre parue le 15 novembre.


 Lire aussi un récent article de Laurent Guyénot sur la façon dont les mêmes Esquimaux se sont attaqués à la réputation de Mickaël Jackson.
 Enfin, un article édifiant sur les relations que Donald Trump entend entretenir avec les Esquimaux avec sa nouvelle équipe qu’il est en train de mettre en place.
 Article de Laurent Guyénot le 22 novembre 2024 : « Comment Israël a pris le contrôle de l’Amérique le 22 novembre 1963 ».

 Article repris par Profession gendarme.
 Voir notre brève du 21 novembre 2024 : « Les Esquimaux et les maux », qui poursuit nos réflexions.

Lionel Labosse


Voir en ligne : Qui a maudit les Kennedy ? Sur le site de l’éditeur


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[1Cela n’étonnera pas les lecteurs de Le Massacre de Charlie Hebdo. L’enquête impossible de François Belliot.